Un des plus grands succès de Julien Clerc au début de sa carrière est sans doute "ce n'est rien" de l'album "Niagara"(1971) sur des paroles de son complice Etienne Roda-Gil Je vous en propose ici une toute nouvelle version inspirée d'interprétations plus récentes de l'artiste <br /> <br />Ce n'est rien <br />Tu le sais bien <br />Le temps passe <br />Ce n'est rien <br /> <br />Tu sais bien <br />Elles s'en vont comme les bateaux <br />Et soudain <br />Ça revient <br /> <br />Pour un bateau qui s en va <br />Et revient <br />II y a mille coquilles de noix <br />Sur ton chemin <br />Qui coulent et c'est très bien <br /> <br />Et c'est comme une tourterelle <br />Et qui s'éloigne à tire d'aile <br />En emportant le duvet <br />Qui était ton lit <br />Un beau matin... <br /> <br />Et ce n est qu'une fleur nouvelle <br />Et qui s'en va vers la grêle <br />Comme un petit radeau frêle <br />Sur l'Océan... <br /> <br />Ce n'est rien <br />Tu le sais bien <br />Le temps passe <br />Ce n'est rien <br />Tu sais bien <br />Elles s'en vont comme les bateaux <br />Et soudain <br />Ça prévient <br />Comme un bateau qui revient <br />Et soudain <br />Il y a mille sirènes de joie <br />Sur ton chemin <br />Qui résonnent et c'est très bien <br /> <br />Et ce n'est qu'une tourterelle <br />Qui revient à tire d'aile <br />En rapportant le duvet <br />Qui était ton lit <br />Un beau matin... <br /> <br />Et ce n'est qu'une fleur nouvelle