A Florence, une amie m’envoie un texto : n’oublie pas d’aller voir le Beato Angelico : « Tu comprendras pourquoi j’y ai laissé un bout de mon cœur ! » <br />Le dernier jour, je décidais de lui rapporter ce bout de cœur, mais les choses se sont déroulées tout autrement. <br />Un prêtre au sourire malicieux m’indiqua le chemin du paradis où Fra Angelico ( 1387-1455) dit le Beato Angelico peignait des fresques d’un monde sans douleur, emplie de lumière et rayonnante d’humanité. Je vous laisse avec ces œuvres et sa vision du monde.
