Poèmes XXXVI – XLII <br />http://fr.wikisource.org/wiki/Page:Tagore_-_L%E2%80%99Offrande_lyrique.djvu/86 <br />(pages 86 à 95) <br /> <br />Cette lecture de sept poèmes de Gitanjali <br />se veut une offertoire, <br />une invitation à entendre Tagore, ‘Le Poète’, <br />comme il est affectueusement dénommé en Inde. <br />Un moment de sérénité. <br />D’humilité. <br />De douce harmonie. <br /> <br />La publication en 1912 de Gitanjali <br />(Song Offerings, L'Offrande Lyrique) rend Tagore célèbre. <br />Il reçoit le Prix Nobel de littérature en 1913. <br /> <br /> <br />XXXVI – Ceci est ma prière vers toi, mon Seigneur <br /> <br />XXXVII – Je croyais que mon voyage touchait à sa fin <br /> <br />XXXVIII – C’est toi que je veux ! toi seul ! <br /> <br />XXXIX – Quand le cœur est dur et desséché <br /> <br />LX – Il n’a pas plu depuis des jours et des jours, ô mon Dieu <br /> <br />LXI – Où te tiens-tu donc derrière eux tous, mon amant <br /> <br />LXII – Au petit matin un bruissement a dit que nous allions nous embarquer <br /> <br /> <br />GITANJALI <br />‘Song Offerings’ fut écrit en anglais par Tagore. <br />http://en.wikisource.org/wiki/Gitanjali <br /> <br />Cette œuvre a été traduite en français par André Gide. <br />"Il m'a paru qu'aucune pensée de nos jours ne méritait plus de respect, j'allais dire de dévotion, que celle de Tagore et j'ai pris mon plaisir à me faire humble devant lui, comme lui-même pour chanter devant Dieu s'était fait humble."
