<p>Les intermittents du spectacle multiplient les actions ces dernières semaines, protestant contre le projet de réforme de leur régime d'assurance-chômage scellé le 22 mars qui viste à réaliser 180 millions d'euros d'économie. Parmi les mesures au centre du débat : le différé instauré entre le moment où une personne peut prétendre à une indemnité, et le moment où elle commence effectivement à la recevoir. Qu'est-ce qui pose problème exactement sur ce point ? L'assouplissement de la réforme révélé le 24 avril par <i>Les Echos</i> va-t-il changer la donne ? Peut-on parler d'une réforme ratée ? Les explications de Clarisse Fabre, journaliste au service Culture du <i>Monde</i>.</p>
