Le film est construit selon le mode de la chronologie inversée, c’est-à-dire depuis la fin, jusqu’au début. <br /> <br />L’idée générale est de montrer la chronologie de faits de violence envers une infrastructure sportive (dégradations) qui mèneront des jeunes à des sanctions pénales de substitution que sont des travaux d’intérêt général. <br />Chronologiquement, le déroulement des faits commence dans un skate park où un jeune se voit refuser l’accès à l’enceinte sportive, celle ci étant occupée par un groupe scolaire, dans le cadre d’horaires réservés. Le jeune prend très mal ce refus. <br />A la tombée de la nuit, ce jeune force la serrure du skate park, pénètre dans l’enceinte et effectue ses dégradations. Il est surpris par un technicien municipal durant ses méfaits. <br /> <br />Au tribunal, le Procureur de la République a une explication franche avec le jeune accompagné de son avocat. La fin du discours lui rappelle qu’il a été surpris en flagrant délit de dégradation du skate park. Le Procureur, lui demandant s’il a quelque chose à ajouter, lui énonce sa mesure de réparation. <br /> <br />L’histoire se termine par l’accomplissement du travail d’intérêt général par le jeune qui répare la piste de skate qu’il a dégradé. Très appliqué à sa tâche, il semble agacé par les quolibets que lui adressent d’autres jeunes. <br />Son encadrant a un discours très positif et lui montre les gestes adéquats.