En Afghanistan, comme dans le reste du monde, on célébrait ce lundi l’Aïd el-Fitr, la fête qui marque la fin du Ramadan.<br /><br />En ce jour de prière, Hamid Karzai a souhaité qu’un nouveau président arrive enfin à la tête du pays alors que l’audit du second tour de la présidentielle a de nouveau été suspendu.<br /><br />Il a aussi demandé au monde musulman et particulièrement aux Afghans d’avoir une pensée pour le peuple palestinien qui, a-t-il dit, “se fait tuer dans la bande de Gaza”.<br /><br />En Syrie, malgré des tirs de mortiers sur la capitale Damas, le président Bachar el-Assad a lui aussi participé à la prière de l’Aïd dans la mosquée de Mouhajirine, le quartier où il réside.<br /><br />Durant son sermon, l’imam a fustigé les ennemis de la Syrie, pointant du doigt notamment mais sans les nommer directement, les pays arabes qui soutiennent les rebelles face au régime de Damas.<br /><br />Enfin, au Bangladesh, la rivière Buriganga était noire de monde ce lundi. Des milliers de personnes ont joué des coudes pour trouver une place à bord des ferries qui les ont emmenées loin de la mégapole Dacca afin d’aller fêter l’Aïd el-Fitr avec leurs familles.<br /><br />Le scénario était le même dans les gares où des trains surchargés ont quitté doucement la capitale.