Le second album de William Sheller sorti en 1976 contient deux de ses plus grands succès au début de sa carrière : « Comme dans un vieux rock n’ roll » et « Le carnet à spirale » Mais on y trouve aussi « Genève », chanson pour laquelle j’ai un petit faible (la preuve étant que cela fait la troisième fois je crois que je la reprends !) L’artiste aurait trouvé l’inspiration lors d’un moment d’ennui alors qu’il séjournait précisément dans cette ville <br /> <br />Juste un concert au bord de l'île Rousseau <br />Et le hasard de se voir à nouveau <br />Tu viens vers moi et tu me dis bonjour <br />Le temps sur Genève est bien lourd <br /> <br />Et l'on échange là quelques nouvelles <br />Les Berlinois ont quitté leur hôtel <br />Monsieur Wagner est mort hier au soir <br />Le temps sur Genève est bien noir <br /> <br />Mais je m'attarde en d'inutiles verbes <br />Je perds un jeu que je croyais superbe <br />Entre nous il n'est plus question d'amour <br />Le temps sur Genève est trop court
