L'Armée turque se contente de se masser à sa frontière avec la Syrie, tandis que la ville de Kobané s'apprête à tomber aux mains de l'Etat Islamique. Henri Guirchoun explique au micro d'Emmanuel Faux pourquoi le gouvernement Turc préfère rester les bras croisés. <br /> <br />Retrouvez les autres "Editos international" d'Henri Guirchoun sur http://www.europe1.fr/emissions/autour-du-monde
