L'ENTRETIEN - Tarek Mitri, ancien représentant spécial de l'ONU pour la Libye

<p>La Libye s'enfonce chaque jour un peu plus dans le chaos. De violents combats entre groupes armés rivaux ensanglantent le pays. Depuis septembre, un parlement et un gouvernement auto-proclamés se sont constitués en parallèle de ceux reconnus par la communauté internationale. </p><br />Le 6 novembre, la Cour supr&ecirc;me libyenne a invalid&eacute; le Parlement de Tobrouk reconnu par la communaut&eacute; internationale, ainsi que toutes les d&eacute;cisions qu'il a prises depuis juin, aggravant encore la crise politique.<br />Dans un entretien avec Armelle Charrier, Tarek Mitri,&nbsp;ancien repr&eacute;sentant sp&eacute;cial de l'ONU pour la Libye, commente ce coup de th&eacute;&acirc;tre institutionnel.<br />S'il ne peut se prononcer sur les &eacute;ventuelles pressions qu'aurait subi la Cour Supr&ecirc;me bas&eacute;e &agrave; Tripoli, il estime qu'il &quot;est &eacute;vident que sur le plan politique, ce sont les islamistes et leurs alli&eacute;s, &agrave; savoir les gens de Misrata, qui profitent de cette d&eacute;cision&quot;.<br /><br />Visitez notre site :<br />http://www.france24.com<br /><br />Rejoignez nous sur Facebook<br />https://www.facebook.com/FRANCE24<br /><br />Suivez nous sur Twitter<br />https://twitter.com/France24_fr#