Un drone-ambulance, guidé au dessus du trafic de la ville avec à son bord un défibrillateur et un médecin qui indique, à distance, comment placer les électrodes sur la poitrine pour ranimer la victime d’une crise cardiaque. <br /><br />Pour Alex Momont, l’inventeur du drone-ambulance, le point fort de son projet est sa rapidité d’intervention. <br /><br />“Les drones ont toujours une autonomie limitée mais comme ici le temps pour arriver à destination est très rapide nous n’utilisons qu‘à peine 5% de la batterie” dit il, et “c’est pour cela qu’on peut se permettre de voler si vite.”<br /><br />Alex Mormont espère être en mesure de commercialiser son prototype d’ici cinq ans. <br /><br />Une déclinaison plus récréative du drone pourrait bien voir le jour aux Etats-Unis, avec le projet d’un drone portable et miniaturisé à l’extrême, jusqu‘à la taille d’un téléphone ou d’une montre bracelet. <br /><br />C’est le gadget idéal des fanatiques du “selfie” et des sports extrêmes. Le drone se détache, prend du champs tout en captant les mouvements de son propriétaire avant de revenir à son poignet avec la photo idéal dont il rêvait. <br /><br />Aucune date de commercialisation pour se projet qui semble tout droit sorti de l’imagination de Ian Flemming et de la section Q si chère aux amateurs de James Bond.