A moins d’une semaine de ce scrutin anticipé, la gauche anti-austérité d’Alexis Tsipras tente désormais de convaincre les indécis pour s’assurer une éventuelle majorité absolue de 151 sièges au parlement.<br /><br /> Syriza craint de faire des alliances qui lui imposerait de s‘écarter sensiblement de son programme tout en rassurant les instances communautaires :<br /><br /> “L’Europe ne devrait pas avoir peur de partis comme Syriza, si elle doit avoir peur de quelque chose, c’est d’elle-même. Je me réfère aux politiques stratégiques dominantes d’extrême austérité, qui ont été imposées principalement par la principale puissance : l’Allemagne”, explique le porte-parole de Syriza, Panos Skourletis.<br /><br /> Angela Merkel a réaffirmé vouloir une Grèce dans la zone euro tout en rappelant qu’une politique de rigueur s’impose à tout gouvernement grec.<br /><br /> La majorité conservatrice-socialiste tente de refaire son retard de plus de 4 points en mettant en garde contre une sortie de la zone euro et le spectre d’une insolvabi