Représentants des salariés et de la direction ont opposé leurs arguments, hier, au tribunal de grande instance de Châteauroux, devant le juge des référés, pendant plus d'une heure. Les premiers ont dénoncé une délocalisation masquée quand les seconds ont assuré que ces machines n'étaient plus utilisées depuis trois ans, et que les liens avec l'usine indienne devraient renfocer l'activité sur le site de Diors.