<p>Elu il y a un mois, le nouveau premier ministre grec a envoyé la liste des réformes qu'il comptait mener dans son pays</a> en échange d'une extension de quatre mois du plan d'aide financière accordée par l'Eurogroupe. Validée par Bruxelles, cette liste semble s'éloigner des promesses de campagne d'Alexis Tsipras, n'évoquant qu'à demi-mots les réformes sociales d'ampleur qui faisaient pourtant le socle de son programme, comme la hausse du salaire minimal par exemple. Peut-on considérer que la Grèce a finalement perdu le bras de fer ? Reste-t-il une marge de manoeuvre à Alexis Tsipras ? Quelles sont les prochaines étapes des négociations ? Le point avec Cécile Ducourtieux, correspondante du <i>Monde</i> à Bruxelles.</p> <br /><p> </p> <br /><p><b>Lire aussi</b></p> <br /><p><b>- En Grèce, premières divisions politiques après les compromis économiques</a></b></p> <br /><p><b>- Grèce : la liste des réformes concédées à Bruxelles</a></b></p> <br /><p><b>- Visuel interactif : six ans de tragédie grecque</a> <br /></b></p>