<p>La décision attendue mercredi du Conseil de l'Europe reprochant à la France de ne pas interdire totalement gifles ou fessées envers les enfants a relancé le débat entre ceux qui dénoncent leurs effets néfastes et ceux qui pensent que cela relève de la liberté des parents. Pour la pédiatre Edwige Antier, <i>« c'est une grande victoire »</i>. En arrêtant de taper les enfants on <i>« enlève les racines de la violence dans une société »</i>, estime-t-elle.</p> <br /><p><i>Images : AFP web</i></p>
