<p>A deux semaines du premier tour des élections départementales des 22 et 29 mars, le premier ministre a fait le choix de dramatiser l'enjeu du scru<i>tin. « J'ai peur que mon pays se fracasse contre le Front national »</i> a déclaré le premier ministre qui a ajouté qu'il <i>« revendique la stigmatisation de Marine Le Pen ».</i></p><br /><p>Pourquoi le premier ministre mène-t-il ainsi la charge contre le Front national ? Cette stratégie est-elle concertée avec l'Elysée ? Analyse de Thomas Wieder, chef du service politique du <i>Monde.</i></p>