Rencontre ce mercredi entre le Premier ministre grec et le chancelier autrichien. Lors de cette visite, Werner Faymann, a dit “ne pas pouvoir imaginer un avenir prospère et pacifique en Europe sans la Grèce”. Réaction à la situation inconfortable dans laquelle se trouve le pays. Athènes tente depuis longtemps de trouver un compromis avec ses créanciers. Le Premier ministre grec a déjà réaffirmé son refus d’une réduction des pensions de retraite et dit “souhaiter une solution honorable” quitte à en payer le prix politique. Et Alexis Tsipras d’ajouter qu’“en l’absence d’un compromis honorable et d’une solution financière viable, le gouvernement grec serait encore le seul à prendre la responsabilité de dire un grand “non” à une politique destructrice pour la Grèce”.<br /><br /> La Grèce a jusqu’au 30 juin pour honorer un remboursement de près de 1,6 milliard d’euros au Fonds monétaire international (FMI). Les Grecs sont soucieux.<br /><br /> “Tout le monde est inquiet pour son argent. Ce n’est pas une affair