François Hollande a dit lundi 29 juin croire encore en la possibilité d'un accord entre la Grèce et ses créanciers, mais il a aussi signifié à Athènes que la balle était dans son camp. <br />Après la réunion d'un comité restreint sur la crise grecque, le président français François Hollande a parlé d'un "choix souverain" des Grecs sur cette question de l'euro, tout en "déplorant" la rupture par Athènes des négociations sur la poursuite du financement du pays. <br />"La France est disponible, toujours disponible pour que le dialogue puisse reprendre aujourd'hui ou demain, mais aujourd'hui il y a toujours la possibilité d'un accord, demain, ça dépendra de la réponse des Grecs au référendum", a déclaré François Hollande.
