Les réfugiés de Nahr el-Bared s’apprêtent à passer un bien triste Ramadan. <br /><br />Ce n’est pas demain que le camp de Nahr el-Bared sera déminé et reconstruit. Pourtant les réfugiés ne rêvent que d’y retourner. Sans argent et logés dans des abris insalubres ils s’apprêtent à passer un Ramadan bien triste : pas de préparatifs, pas de dépenses, pas de provisions pour les repas nocturnes. <br /><a class="link" rel="nofollow" href="http://www.france24.com">www.france24.com</a>