Les soutiens de Laurent ont réagi mercredi avec colère au transfèrement de l'ex-président ivoirien à la Cour pénale internationale (CPI), le jugeant contraire à la "réconciliation", mais le gouvernement d'Alassane Ouattara y voit un nouveau départ après la crise. <br />Allez sur <a class="link" rel="nofollow" target="_blank" href="http://www.planet.fr/actu/a-la-une/1912">Planet.fr</a> pour retrouver l'article complet.