Robin Williams ne souffrait pas de la maladie de Parkinson mais d'une forme de démence et avait commencé à perdre la raison, affirme mardi la veuve du légendaire acteur qui a mis fin à ses jours l'an dernier. D'après Susan Schneider, l'acteur était atteint de démence à corps de Lewy, maladie neurodégénérative qui provoque de violents changements d'humeur et des hallucinations, caractéristiques partagées avec les maladies de Parkinson et d'Alzheimer. <br />Elle affirme que "ce n'est pas la dépression qui a tué Robin. La dépression est l'un des, disons, cinquante symptômes" dont il faisait l'objet et "c'était l'un des plus minimes".