La chancelière allemande Angela Merkel a promis lundi 14 décembre de "réduire de manière perceptible" le flot de réfugiés en agissant au niveau européen, tout en refusant une fermeture des frontières au nom d'un <br /> <br />"impératif humanitaire". S'exprimant dans le cadre du congrès de l'Union chrétienne-démocrate (CDU), elle a cherché à calmer les tensions au sein de son parti, sa politique d'ouverture pratiquée depuis le début de la <br /> <br />crise migratoire n'ayant pas toujours fait l'unanimité. "Même un pays aussi fort que l'Allemagne peut être dépassé" a-t-elle concédé, continuant toutefois de refuser l'idée de quotas.