"The sailor not the see" 2004<br /><br />Chanteur belge,<br />Ozark comme la chaîne de montagne de l’Arkansas, Henry comme le personnage principal de « Junkie » de William S. Burroughs. Né à Courtrai (Belgique), le 29 avril 1970, Piet Hendrik Florent Goddaer, dit Ozark Henry, "tombe" très vite dans le monde de la musique. Fils du compositeur classique Norbert Goddaer, il fut encouragé par ce dernier à apprendre la musique. Il commence à jouer du piano et du saxophone à l'âge de 6 ans à l'école de musique de Courtrai. La plus grande originalité d'Ozark Henry lui vient de sa voix qui donne une dimension très particulière à ses chansons.<br /><br />Pour son album « The Sailor not the Sea », Piet qui fut aussi artiste peintre, part de l'image romantique d'une femme face à la mer, le soleil d’été sur sa peau. Seul celui qui saurait que le mari de cette femme a disparu en mer, comprendrait ce qu’elle scrute réellement du regard : le marin et non la mer.<br /><br />--<br /><br />All possible details<br />mirror all that we put up with<br />to be safe from harm<br />A blood red sky-contrails<br />every motive I supply<br />to dance away the sight<br /><br />Indian Summer<br />Opiate company<br />As bare as truth can be<br />without apologies<br />I feel the summer<br />The humming I inhere in<br />Indian Summer<br />There's no apology<br /><br />where a Fantom piano plays- Satie<br />Would that be the house<br />where I was born<br />Run-down and bleached<br />where the history weighs- on me<br />Lift me up into your arms<br />before I pack to leave<br /><br />Indian Summer<br />Opiate company<br />As bare as truth can be<br />without apologies<br />I feel the summer<br />The humming I inhere in<br />Indian Summer<br />has no apology
