Interview du 20 janvier 2016. <br /> <br />Il revient sitôt que notre Popeye des Bronzés se retrouve sur des planches ou devant une caméra. Le grand escogriffe a conservé cet air de ne pas y toucher, cette faculté d’avoir toujours l’air de passage dans un rôle, d’effleurer son sujet sans avoir travaillé... Et en fait, lorsqu’on y regarde de plus près, cet art d’”être” et non pas de “jouer”. Avec modestie, et sans long discours, il possède ce que tous les acteurs cherchent souvent. Ce naturel qui le rend si populaire et si juste. <br /> <br />Voici son programme : <br />- Mendelssohn, Quatuor n°2 (anecdote sur la démolition de la statue de Mendelssohn à Prague, au début de la 2e guerre mondiale) <br />- Bach, Suite pour violoncelle n°2 en ré mineur <br />- Brahms, Symphonie n°3, 3ème mouvement <br />- Donizetti, L’Elixir d’amour, “Una furtiva lagrima” par Caruso <br /> <br />3 musiques “Madeleines” : <br />- Simon and Garfunkel, “The Sound of Silence” <br />- Caetano Veloso, “Cucurucucu Paloma” <br />- Grieg, Peer Gynt, “Chanson de Solveig”