Vingt-quatre heures après le bombardement meurtrier d’une école à Idleb (dans le nord-ouest de la Syrie), jeudi, au moins trois écoliers auraient aussi été tués près d’Alep par des rebelles anti-régime.<br /><br /> Mais le massacre d’Idleb, qui a causé la mort de 22 enfants et de six enseignants, accentue la pression sur Damas et Moscou.<br /><br /> Syrie : 22 enfants meurent dans le bombardement d’une école https://t.co/uFSyttbPAP— Le Monde (@lemondefr) 27 octobre 2016<br /><br /> L’ONU a ouvert une enquête : le régime de Bachar et la Russie sont clairement montrés du doigt.<br /><br /> Cette attaque coïncide avec la publication d’un rapport à l’ONU accusant les autorités syriennes d’avoir lancé au moins trois attaques chimiques contre sa population en 2014 et 2015.<br /><br /> Pour l’ambassadeur russe auprès des Nations unies, les conclusions de ce rapport “sont pleines de contradictions”. <br /><br /> Vitali Tchourkine: “Nous croyons qu’il n’y a tout simplement pas de preuves suffisantes pour prendre des mesures punitives. <br />Continuons les discussions (...) Nous avons apporté de nombreuses remarques technniques très très sérieuses qui mettent en lumière la faiblesse de ce rapport d’enquête conjoint.”<br /><br /> Ces attaques chimiques s‘étaitent produites dans la même région rebelle d’Idleb, là-même où le bombardement de l‘école s’est produit mercredi. <br />Une tuerie pour laquelle Moscou a déjà dénié toute participation directe ou indirecte. <br /><br /> Avec Agences<br />