En Corée du Sud, la procédure de destitution de la présidente Park Geun-Hye se poursuit. Mardi matin la Cour constitutionnelle s’est de nouveau réunie pour examiner les motifs invoqués par l’assemblée nationale pour justifier cette destitution.<br /><br /> Park Geun-Hye est accusée de collusion. Sa principale conseillère est en prison pour extorsion de fonds et abus de pouvoir. <br /><br /> Corée du Sud: Des milliers de manifestants réclament le départ de la présidente https://t.co/qbV2tpzOz2— Aujourd'hui la Corée (@AujourdhuiCoree) 25 décembre 2016<br /> <br /><br /> Si la cour constitutionnelle valide la destitution de la présidente, de nouvelles élections devront être organisées en 2017.<br /><br /> Mais craignant d‘être laminé, le parti conservateur au pouvoir vient d’imploser : des parlementaires hostiles à la présidente viennent de faire sécession. Ils réclament un grand nettoyage.<br /><br /> Ces députés frondeurs misent désormais sur “l’ex-secrétaire général de l’ONU”:<br />http://abonnes.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2016/12/27/les-ambitions-presidentielles-de-ban-ki-moon-perturbees-par-une-affaire-de-corruption_5054266_3216.html?xtmc=coree&xtcr=1 pour se refaire une virginité. <br /><br /> En cas d‘élection présidentielle anticipée, Ban Ki-moon arriverait en tête de la compétition, selon un récent sondage. <br /><br /> Avec Agences<br />