Interview du 5 décembre 2016. <br /> <br />Il y a eu soeur Sourire, et il y a soeur Courage. Jean-Ferrat la considérait comme sa petite soeur et elle a quelque chose d’une sainte laïque, d’une religieuse de la République. Isabelle Aubret fut de tous les combats, la faculté d’indignation est sa force. Quant à la poésie, c’est son petit coin de ciel bleu qui l’aide à trouver de quoi s’enthousiasmer dans la vie. <br />Voici son programme : <br />La valse triste de SIbelius par Herbert von Karajan <br />- Czardas de Monti par Yehudi Menuhin <br />- La symphonie n°1 en ré majeur de Mahler Seiji Ozawa <br />- Le concerto n°1 de Tchaikovsky par Vladimir Horowitz <br /> <br />Les Madeleines <br />- Nuit et brouillard par Jean Ferrat <br />- Nous deux (de Jean-Roger Caussimon) par Léo Ferré <br />- Un jour un jour par Isabelle Aubret <br /> <br /> <br />Jean Ferrat
