« Quand je suis arrivée sur les lieux, je me suis mise à pleurer. On a tout donné, on a consacré une grande partie de notre vie à travailler et c’est dur de voir cela. » Quatre jours après les violences urbaines qui ont touché Bobigny (Seine-Saint-Denis), en marge de la manifestation réclamant justice pour Théo, les propriétaires du Franprix et leurs trois enfants se remettent difficilement du saccage de leur commerce. Voici leur témoignage.<br/><br/>Retrouvez l'info en temps réel avec Le Parisien : >> http://www.leparisien.fr/#xtor=AL-1481423430
