C’est officiel, le congrès américain a demandé aux géants du net, Facebook, Twitter et Google de témoigner dans le cadre des enquêtes sur une possible influence russe dans l‘élection présidentielle de 2016. <br />La semaine dernière, cédant aux pressions, Mark Zuckerberg, le Fondateur de Facebook avait promis de fournir au gouvernement les informations qu’il réclamait, c’est-à-dire le contenu de messages à caractère politique, financés par des intérêts russes via des achats de milliers d’espaces publicitaires sur le réseau social. <br /><br />Selon la presse américaine, ces messages cherchaient à créer des tensions politiques chez les Américains, dans le but, de nuire à la candidate démocrate Hillary Clinton. Mais pour le président américain, Facebook était avant tout anti-trump. <br /><br />Des représentants des trois groupes sont désomais attendus par la commission du Sénat sur le renseignement le 1er novembre pour une audition publique. <br /><br />Le Kremlin nie toute implication dans l‘élection.<br />