Chronique (Lundi 21 Juillet 2008) <br /><br />L’impasse “systémique” de la corruption <br />Par :Mustapha Hammouche <br />Lu : (254 fois) <br /><br />El Khabar annonçait, avant-hier, une nette augmentation des rémunérations des députés, ministres, premier ministre et présidents de Chambres parlementaires. Le lendemain, d’autres journaux font part d’une circulaire du Chef du gouvernement invitant les institutions à la rigueur dans les dépenses. Les membres du gouvernement devraient, selon l’instruction gouvernementale du 13 juillet, “donner l’exemple”, notamment en bannissant toute “dépense excessive ou indue”. <br />Parallèlement, un débat de type “syndical” anime l’institution judiciaire. C’est donc à l’occasion d’une crise “sociale”, sourde mais qui semble réelle, qu’on se rappelle qu’une république est fondée sur la séparation des pouvoirs. <br />Le collectif parlementaire n’est, par nature, pas contraint à la retenue et peut, plus ouvertement, exprimer ses revendications. Le parlementaire n’a pas le pouvoir qui, théoriquement, est attaché à sa fonction, mais en détient ses attributs en termes de privilèges. <br />Par contre, le personnel de justice est de plus en plus traité en corps de fonctionnaires malléables et mutables à merci. <br /><br />Lire la suite de l'article :<br />http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=97091
