<b><i>It's a mans world - James Brown 199</i></b>1 <br /><br /> <br /><b><i>Ils ne sont pas nombreux, ceux qui peuvent se targuer d´avoir inventé un courant musical. <br />James Brown est de ceux-là. S´il rêvait de devenir sportif (boxeur notamment), <br />c´est grâce à son chant qu´il devient célèbre. Malgré (déjà) des problèmes de justice, <br />il fonde ´The famous flames´ avec Bobby Bird et rencontre le succès en 1956 avec <br />´Please, please, please´. Leur gospel va vite évoluer vers le rythm´ n´blues sous l´impulsion <br />du bouillonnant chanteur. Le chant est de plus en plus heurté, la musique simplifiée... <br />le funk est en train de naître. Les prestations scéniques endiablées de James Brown, <br />dans une période difficile pour les noirs américains, sont comme une libération. En 1965, <br />il sort ´Papa´s got a brand new bag´ et ´I feel good´ qui deviennent des tubes planétaires avant <br />´Sex Machine´. L´avènement du disco, qu´il a influencé, à la fin des années 70, <br />va paradoxalement ralentir sa carrière. Il participe au film ´The blues brothers´ <br />et continue à exister au travers des samples et diverses influences. <br />´The godfather of soul´, dont le succès sur scène ne se démentira jamais, fait ensuite <br />régulièrement les gros titres pour ses frasques conjugales. Il s´éteint des suites d´une pneumonie le jour de Noël 2006.</i></b>
