Il sort enfin de son silence, au bout de 8 jours. Le Premier ministre libanais démissionnaire a dit qu’il allait “très bientôt” rentrer au Liban. Saad Hariri assure dans une interview à une chaîne de télévision libanaise réalisé depuis Ryad qu’il est “libre” en Arabie saoudite. <br /><br />Le Liban fragilisé par le jeu de Riyad https://t.co/zb38LWAEg9— Le Figaro (@Le_Figaro) 12 novembre 2017<br /><br />Le 4 novembre il avait annoncé sa démission surprise depuis la capitale saoudienne. Et depuis, les autorités libanaises s’interrogent sur sa liberté de mouvement. <br />Pour justifier sa démission, Saad Hariri avait dénoncé la “mainmise” de l’Iran et du Hezbollah, membre de son gouvernement et proche de Téhéran, sur les affaires libanaises. <br /><br />Excellent papier pour comprendre ce qui se passe au Liban. https://t.co/ClABYJTkMi— Laurence Parisot (@LaurenceParisot) 12 novembre 2017<br /><br />Le président Michel Aoun n’a toujours pas accepté sa démission, et à Beyrouth on attend son retour. Ce dimanche les participants du marathon de Beyrouth couraient pour cela, pour que leur premier ministre revienne. Un chef de gouvernement adepte de la course à pied, et dont l’absence au marathon cette année était omniprésente.<br /><br />Rafik Hariri, Premier ministre démissionnaire du Liban, est-il prisonnier de l’Arabie saoudite? https://t.co/c9G0BD7Svf pic.twitter.com/GmHXd45jGR— 20 Minutes (@20Minutes) 12 novembre 2017<br /><br />#Hariri : "J'ai écris moi-même le discours de ma démission" #Liban https://t.co/zPXA3AQgLs— L'Orient-Le Jour (@LOrientLeJour) 12 novembre 2017<br />
