L'armée birmane a admis son implication dans le massacre de dix Rohingyas. Et pour la première fois, elle a aussi reconnu l'existence, dans l'Etat de l'Arakan (nord), d'un charnier de membres de cette minorité musulmane victime d'exactions depuis des mois.<br />Pourquoi l’armée birmane reconnaît-elle cette tuerie et pourquoi maintenant ?<br />Camille Cuisset, coordinatrice de l'association infos Birmanie répond aux questions des auditeurs. <br />