A Tolbiac ou encore à Montpellier 3, les dégâts sont conséquents après l’occupation d’étudiants réfractaires à la réforme de l’université. Sur LCP, Frédérique Vidal se désole: «C’est important de savoir qui a commis ces dégâts parce qu’effectivement, c’est le contribuable qui va payer. L’argent des universités, c’est de l’argent public». Elle ajoute: «Je ne souhaite pas que l’argent qui a été investi, notamment pour mieux accueillir les étudiants, soit utilisé pour repeindre des amphis ou refaire des serveurs». <br /> <br />Trois universités étaient encore bloquées ce lundi et sept sites universitaires sur 400 étaient perturbés. <br />
