Il y a cinq ans, un immeuble s'effondrait au Bangladesh. À l'intérieur, il y avait notamment une usine. Bilan : 1 138 morts et plus de 2 000 blessés. Les victimes, essentiellement des femmes, confectionnaient les vêtements commandés par de grandes enseignes européennes. Peu après, le Collectif Éthique sur l'étiquette et les organisations de défense des droits humains locales et internationales se sont mobilisés pour que de tels accidents causés par l'"irresponsabilité des multinationales et des états ne puissent survenir". <br />Interview de Jacques Puhl, coordinateur du collectif Éthique sur l'étiquette pour Dijon Métropole, regroupant une dizaine de membres actifs et quelque 150 sympathisants.<br />
