Cette étude se base sur des tests de logique réalisés sur 20 000 personnes et démontre que la pollution atmosphérique à un fort impact sur nos capacités de réflexion.<br /><br />Les périodes de l’année où la pollution atmosphérique était la plus forte affectent fortement les résultats des tests mathématiques et verbaux.<br /><br />Cet effet se trouve encore renforcé dans les villes où la qualité de l’air était la plus mauvaise.<br /><br />Selon les auteurs de l’étude, cela pourrait rendre le traitement des maladies cérébrales touchant les personnes âgées encore plus complexe et coûteux.<br /><br />Enfin, rappelons qu’un étude a démontré que 95 % des humains vivent dans des zones présentant des niveaux de pollution atmosphérique dangereux.