"C'est un problème national, qui concerne l'ensemble de nos concitoyens, et les entreprises peuvent être confrontées à des comportements à risques qui les préoccupent", rappelle Olivier de Mazières, préfet de police des Bouches-du-Rhône. </p> <br />Des entreprises qui entrent dans la lutte contre la radicalisation, c'est donc l'idée de cette action préventive menée par le préfet de police en personne. Ce matin, à Marseille, il a voulu alerter les chefs d’entreprise du BTP présents. "Il est important qu'ils sachent comment détecter les premiers signaux de radicalisation et comment les signaler aux services de police".</p> <br />Les patrons, qu'ils soient du BTP comme aujourd'hui, ou dans tout autre secteur économique, sont mis à contribution pour créer un maillage et permettre ainsi aux forces de l’ordre de déceler les individus qui pourraient représenter une menace.</p> <br />Pour rappel, en France 20 000 personnes sont fichées pour suivi de radicalisation, dont 560 chez nous dans les Bouches-du-Rhône.</p> <br />En vidéo: Olivier de Mazières, préfet de police des Bouches-du-Rhône.</p> ...<br /><br />Vidéo publiée le : 03/10/2018 à 16:53:00<br /><br />Lien vers l'article de Maritima.info :<br />http://www.maritima.info/depeches/societe/marseille/55637/lutte-contre-la-radicalisation-comment-detecter-les-premiers-signes-dans-l-entreprise-.html