Une étude démontre que même à l’âge adulte, notre ADN peut receler des traces de violences subies durant l’enfance. <br /><br />Pire encore, les conséquences de ces violences peuvent se transmettre de génération en génération.<br /><br />La période de la petite enfance, ainsi que l’adolescence, sont des périodes cruciales à la croissance d’une personne.<br /><br />Les séquelles peuvent paralysées des personnes même au bout de plusieurs décennies.<br /><br />Les facteurs environnementaux de la petite enfance peuvent affecter la méthylation de l’ADN des spermatozoïdes.<br /><br />Sur 34 hommes, 22 d’entre eux ont gardés des traces de violence infantile (qu’elles soient de nature physiques, psychologiques ou sexuelles).