Le cancer est la première cause de mort prématurée en France, avec 400 000 cas supplémentaires diagnostiqués en 2017 et près 150 000 décès. <br /><br />Pour défier ces chiffres alarmants, des chercheurs veulent remplacer la chimiothérapie par un suicide des cellules responsables de la maladie.<br /><br />S’inspirant des mécanismes de défense de notre organisme, cette solution pourrait révolutionner la médecine et réduire l’incidence colossale de ce fléau.<br /><br />Cette études suggère donc de provoquer le suicide des cellules malignes tout en préservant celles qui sont saines.<br /><br />La solution se trouverait dans des molécules déjà utilisées par les cellules pour réguler l’utilisation de gènes.<br /><br />Notre organisme comprendrait environ 100 000 milliards de cellules, la capacité de celles-ci à se démultiplier pour proliférer est régulée par l’apoptose.<br /><br />Il s’agit d’un suicide cellulaire qui permet d’évacuer les cellules ayant acquis des propriétés dangereuses.<br /><br />Pour leurs études, les chercheurs se sont penchés sur 6 nucléotides constitutifs de l’ADN et de l’ARN capables de déclencher le suicide cellulaire.<br /><br />Les cellules cancéreuses présentes dans l’organisme ont tout simplement disparu, au lieu de développer une résistance au traitement comme cela arrive parfois.
