Il est surnommé le « boxeur de gendarmes » ; Christophe Dettinger a été placé en détention provisoire, dans la soirée du 9 janvier après une comparution immédiate, pour « violence volontaires » contre les forces de l’ordre. <br />Des faits qui se sont déroulés samedi 5 janvier sur la passerelle Senghor à Paris.<br />L’affaire est renvoyée au 13 février, mais pour son avocat rien ne justifie son placement en détention.<br />De nombreux soutiens de Christophe Dettinger étaient présents dans la salle d’audience ; à l’annonce du placement en détention, la colère est montée dans les couloirs du tribunal de grande instance de Paris. <br />De leur côté, les gendarmes souhaitent que la justice rappelle cette « ligne rouge » à ne pas franchir.<br />Christophe Dettinger, qui a dit regretter et assumer les faits, risque une peine maximale de sept ans de prison et 100 000 euros d’amendes.
