Matthew Robertson et Wendy Rogers ont publié une étude dans le British Medical Journal, le 5 février dernier.<br /><br />Les deux chercheurs demandent le retrait de plus de 400 études scientifiques.<br /><br />Ces dernières auraient été réalisées avec des organes provenant de prisonniers chinois exécutés.<br /><br />99% des études analysées n’indiquent pas si les organes ont été donné avec consentement.<br /><br />92% n’en donnent même pas l’origine.<br /><br />D’anciens rapports expliquent que le gouvernement chinois a déjà prélevé des organes sur des milliers de prisonniers.<br /><br />Les organes utilisés pour les transplantations pourraient être ceux de prisonniers de conscience.<br /><br />Ces derniers sont enfermés pour leurs convictions politiques ou religieuses.<br /><br />Si la Chine clame qu’elle n’utilise plus les organes des détenus morts, aucune loi ne l’interdit officiellement.<br /><br />
