A partir de mardi, neuf hommes et trois femmes, des dirigeants indépendantistes catalans, sont jugés devant la Cour suprême à Madrid. Ils sont poursuivis pour rébellion, sédition et malversation. <br /><br />Leurs avocats dénoncent eux un procès politique. Le grand absent, Carles Puigdemont qui est actuellement exilé en Belgique, suit le procès de très près. <br /><br />Si les accusés sont reconnus coupables pour violence, ils risquent jusqu'à 25 ans de prison.
