<p>Les élections européennes</a> sont pile dans trois mois et chaque jour la gauche se dirige un peu plus vers un éparpillement entre cinq listes potentielles.</p> <br /> <br /><p>De nombreuses initiatives ont pourtant été lancées depuis le mois de novembre afin de pousser les partis à se rassembler au sein d’une liste commune.</p> <br /> <br /><p>Le mouvement Place publique, bien sûr, auquel s’est vite ralliée la direction du Parti socialiste</a>. Benoît Hamon, ensuite, qui a proposé une votation citoyenne afin que les sympathisants départagent eux mêmes les différentes formations.</p> <br /> <br /><p>Pourtant rien n’y a fait l’union est au point mort ! La France insoumise n’avait de toute manière jamais été vraiment sollicitée, les Verts battent déjà la campagne, restent donc Générations, le PCF, le PS</a> et Place publique.</p> <br /> <br /><p>Le suspense commence cependant à sérieusement retomber: ce mardi Benoît Hamon va à son tour dévoiler les trente premiers noms de la liste qu’il va conduire, les socialistes - eux - n’ont toujours pas de chef de file pour ces élections, ses dirigeants ayant jusqu’ici tout misé sur un partenariat avec Place publique.</p> <br /> <br /><p>Même les partisans les plus acharnés de l’union pressent désormais le premier secrétaire Olivier Faure</a> d’accéder la cadence car la tendance commence à se dessiner: personne à gauche ne semble disposé à sauver le PS… bien au contraire !</p> <br />
