Plus de 45 000 migrants ont été enfermés dans des centres ou encore des locaux de rétention administrative en 2018.<br /><br />Les associations s’inquiétent et s’insurgent, dénonçant une « banalisation de l’enfermement ».<br /><br />Selon elles, il y aurait même un « usage quasi systématique de la rétention par de nombreuses préfectures ».<br /><br />Comme le rapporte Libération, les préfectures n’hésiteraient pas enfermer « des personnes fragiles et des familles ».<br /><br />Ce qui est également mis en avant dans le rapport, c’est une « dégradation du respect des droits des personnes enfermées ». <br /><br />Les conditions de rétention s’avèrent de plus en plus difficiles, selon le rapport. <br /><br />Les associations redoutent aujourd’hui un agravement de la situation pour l’année 2019. <br />
