Les employés du groupe Renault<br />pourraient être les prochaines<br />victimes de la crise<br />économico-sanitaire.<br />Le constructeur automobile français a publié<br />ses chiffres du premier trimestre 2020. .<br />Et a annoncé la perte nette la plus lourde<br />de son histoire, à 7,3 milliards d’euros.<br />Cette situation<br />est sans précédent<br />et elle n'est pas<br />sans appel, Luca De Meo, directeur général.<br />Le chiffre d’affaires a plongé de 34,3 % sur les six premiers mois de l’année, à 18,4 milliards d’euros.<br />Avant même la pandémie, le groupe Renault<br />avait annoncé un plan de départs de 15 000 employés, dont plus de 4 500 en France.<br />L'arrêt brutal de toutes activités a particulièrement touché le groupe, qui souffre d'une surcapacité<br />de production au niveau mondial