Le favori de la course à la succession de Theresa May, Boris Johnson, a précisé sa vision des futures négociations sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. S’il souhaite de nouvelles discussions sur l’accord de retrait, il promet de ne pas rétablir de frontières dures, même en cas d’échec des négociations. <br /> <br />Accusé de fuir les questions sur le Brexit et fragilisé par une histoire de scène de ménage, Boris Johnson a lancé une contre-offensive médiatique ces dernières heures sur les plateaux de télévision et radio. Il défend une « sorte d’accord » avec l’Union européenne tout en reconnaissant avoir besoin de « la coopération » des Européens en cas d’échec. <br /> <br />Mardi 25 juin, il a signifié une nouvelle fois que l’accord de sortie conclu entre la dirigeante conservatrice et Bruxelles en novembre, qui a été rejeté trois fois par les députés britanniques, était « mort ».
