Jacques Bouille, le maire UMP de Saint-Cyprien, dans les Pyrénées-Orientales, son épouse Marie-Antoinette, un adjoint municipal et deux chefs d'entreprise de la commune soupçonnés de "blanchiment, corruption, trafic d'influence, détournement de biens publics, faux, usage..." <br />L'enquête, ouverte sur un renseignement Tracfin de la cellule nationale anti-blanchiment, a en effet rebondi en cette fin décembre 2008 sur la mise en garde à vue des cinq protagonistes. Déférés ensuite au parquet puis à l'instruction et enfin au cabinet du juge des libertés et de la détention, ilsont connu leur sort tard dans la nuit. Mandat de dépôt, comme requis par le procureur Jean-Pierre Dreno, ou contrôle judiciaire strict? Saint-Cyprien s'est endormi sans savoir <br /><br />@Réalisé par Corine Sabouraud, l'Indépendant, décembre 2008, photos Philippe Rouah <br /><br />Retrouvez toute l'affaire dans l'Indépendant du 18 décembre 2008.
