<p>Vous avez pu remarquer ces derniers jours un temps très agité sur tout le territoire. Eh bien, ça va se poursuive dans ces prochains jours la faute à de fortes pressions atmosphériques et médiatiques.</p> <br /> <br /><p>Et tout part de Paris. De forts vents ont soufflé depuis la capitale. Ils ont gagné en puissance le long de l’Atlantique pour venir stagner ici à Biarritz, provoquant une mini-tornade et l’effondrement de deux candidatures. Soyez prudents si vous êtes en campagne, on vous annonce pour les prochains jours un épais brouillard.</p> <br /> <br /><p>Ces importantes masses d’air instables auront une incidence sur tout le territoire, transformant les maires sortants en girouette. A Limoges, le maire sortant Emile-Roger Lombertie avait promis de ne faire qu’un mandat en 2014. Il est candidat à sa réélection cette année.</p> <br /> <br /><p>On remonte tout au Nord. A Lille, Martine Aubry s’était engagée à quitter ses fonctions après trois mandats. Elle repart en campagne pour conserver son siège de maire.</p> <br /> <br /><p>Les températures, maintenant. Ca continue de se réchauffer pour les écolos. A Lyon, ils enregistrent un joli 21. Inutile de vous dire qu’on est nettement au-dessus des normales saisonnières.</p> <br /> <br /><p>Encore plus surprenant, à Strasbourg, l’hiver est étonnamment doux pour les Verts. 27 au mercure de l’Ifop.</p> <br /> <br /><p>On termine avec une image du côté de nos amis d’Outre-mer. Regardez cette photo des campagnes en Guyane et aux Antilles. Vous n’y voyez rien ? Eh bien c’est normal. C’est un phénomène heureusement unique en France. Là-bas, la campagne va se dérouler sans aucun journal local. Après 56 ans de service, le quotidien France Antilles disparaît faute de repreneur.</p> <br /> <br /><p>Et bien sûr, je n’allais pas vous laisser sans vous donner l’éphéméride. Lundi 3 février, nous serons à 42 jours du premier tour des municipales. Et comme le dit le dicton : « A la Saint-Blaise, boucle ta liste avant de te mettre à l’aise. »</p> <br />
