Le patron du patinage français Didier Gailhaguet s'est défendu mercredi d'avoir couvert les agissements de l'ancien entraîneur Gilles Beyer, accusé de viols par plusieurs patineuses.<br /><br /><br />«Je n'ai absolument pas protégé Gilles Beyer», a déclaré le président de la Fédération française des sports de glace (FFSG), affirmant avoir appris les accusations de viols «il y a une semaine et demi», pour des faits remontant à plus de 20 ans.