Les pays pauvres et en développement sont les plus touchés par l’obésité, le surpoids et la sous-alimentation.<br /><br />Trois quarts des adultes et 80 % des enfants de ces régions sont les plus touchés.<br /><br />Une “épidémie discrète” qui représente un coût très élevé pour les pouvoirs publics. <br /><br />Face à cette situation, la Banque mondiale appelle ces pays à taxer les aliments mauvais pour la santé.<br /><br />Étant trop gras, trop sucrés, trop salés, ils provoquent des conséquences sanitaires graves.<br /><br />L’obésité a des conséquences majeures sur les économies des pays et sur le capital humain.<br /><br />La Banque mondiale suggère d’avoir recours à l’arme fiscale sur les produits gras, salés et sucrés.<br /><br />"La taxe doit être suffisamment haute pour déclencher un changement chez le consommateur."<br /><br />L’Organisation mondiale de la santé estime alors qu’une taxe de près de 20 % devrait être mise en place.
