Les personnes LGBT+ sont plus fréquemment victimes de harcèlement sexuel au sein de l’armée américaine.<br /><br />C’est ce qui ressort d’une récente étude, même si cette discrimination n’est pas nouvelle au sein de cette institution.<br /><br />La loi du « Don’t ask, don’t tell » était en vigueur entre 1993 et 2011.<br /><br />Elle avait pour but de permettre aux personnes « non-hétérosexuelles » d’intégrer l’armée, mais au prix du silence.<br /><br />Discriminatoire et obsolète, elle est abrogée en 2011 par Barack Obama.<br /><br />Pourtant, les résultats suggèrent que les membres LGBT+ connaissent un risque élevé de harcèlement encore aujourd’huI.
